[Joshua Fry and Peter Jefferson, Map of Virginia and Maryland.]
Page 51. To a reference to Monticello the footnote explains that it is the
Habitation de M. Jefferson en Virginie, sur la chaînon appelé South-ouest-mountain, que l’on devrait plutôt appeler le Sillon
rouge, à cause de sa terre argilleuse de cette couleur, absolument semblable au sol d’Alep en Syrie.
Pages 62, 84, 147, 154, 176, 258, 290, and 295 all contain references, some with quotations to the
Notes on the State of Virginia
.
Page 142. A discussion of the snowfall in Virginia is amplified by a footnote:
Cette circonstance empêche d’y élever l’oranger en pleine terre; mais elle n’empêchera pas d’y cultiver l’olivier, dont M.
Jefferson a fait le présent précieux à ce pays . . .
[For Jefferson and the olive, see no. 789.]
Page 447,
L’on sait les ravages qu’exerce la petite vérole; sans doute par l’obstacle qu’oppose à l’éruption une peau endurcie. M. Jefferson
leur procurera un bienfait immense en leur faisant enseigner l’art de la vaccine, ainsi que l’ont publié les journaux . .
.
[For Jefferson and vaccination, see no. 945, 946, 949, and 954.]
On page 321 begins the article
De la fièvre jaune, discussed by Jefferson in his letter to Volney of February 8, 1805, quoted below. This article contains many references to Jean Devèze [see no. 684], concerning whom it is stated (page 329) that
Il obtint des succès qui attirèrent l’attention du gouvernement, et qui le firent placer à la tête de l’hôpital de Bushhill:
le compte qu’il rendit l’hiver suivant de sa méthode curative; ne fait pas moins d’honneur à son coeur qu’à son esprit, puisque
ce compte répandit des idées neuves et salutaires dans tout le pays . . .
In writing this book Volney made use, frequently with quotations, of a number of books of which Jefferson had copies and which
appear in this Catalogue. These authors include Benjamin Franklin, Dr. Rush, Samuel Williams, Jeremy Belknap, S. L. Mitchill,
Sir Alexander Mackenzie, Peter Kalm, Von Humboldt, John Ledyard, Lord Anson, David Ramsay, Lahontan, Sir John Sinclair, W.
S. Barton, and many others, including articles from the
Transactions of the American Philosophical Society
, the
Medical Repository
and other learned publications.
Volney mentioned this work in a letter to Jefferson dated from Paris, May 10, 1803: “. . . Le mien Sur le
climat et le
Sol des Etats unis s’imprime, est est [sic] la 5--feuille: ce sera un Volume de 450 à 500 pages; il contiendra bien peu de chose sur la situation politique et morale,
Si meme il en contient aucune; il faudrait dire trop ou trop peu--j’y joindrai un Curieux vocabulaire du langage Miâmis que
j’adressai en 1797 à philadelphie pendant 8 mois sous la dictée de votre interprete Wells, et de
Petite tortue. à cette occasion je forme le voeu que vous donniez des ordres pour que l’on recueille un échantillon de chacune des langues
des diverses tribus sauvages de Votre continent: il serait digne du congrés detablir pour cet object trois ou quatre places
d’interpretes afin d’empêcher la perte absolue de cette espece de monument historique, le plus certain et le plus instructif
de tous sur l’origine et l’affinité des diverses nations. en 100 ans peut-etre, plusieurs tribus actuelles auront totalement
disparu et emportant avec elles des chainons essentiels de la filiation générale. j’adresse aussi dans mon livre au gouvernement
americain l’invitation de faire dresser un procès verbal exact du
Statu quo de la chute de Niagara, afin de servir par la suite de forme de Comparaison à ses progrès ulterieurs . . .”
He sent the book on November 26, in the same year, with a letter (received by Jefferson in Washington on May 14, 1804): “j’eus l’honneur au mois d’avril dernier de Vous adresser un exemplaire de la nouvelle traduction des
Ruines, dont je vous dois à tant de titres l’hommage: le paquet fut confié aux soins de M
r. Curwen de philadelphie, et la résponse que j’ai dejà obtenue de diverses personnes ne me laisser pas douter que la Votre
ne Vous air été rendu: aujourdhui je Vous envoye par M
r. Lee, Voye de Bordeaux, mon Ouvrage intitulé
Tableau du climat et
du Sol des Etats-unis. Le jugement que Vous me porterez sera pour moi le type de l’opinion qu’en prendra le public éclairé: j’ai eu pour but, non
de flatter et de plaire, mais de dire la Verité: et il est possible que cette methode ne soit pas plus agréable au delà qu’elle
n’est au deça de l’atlantique; j’attache un grand prix à connaitre Votre opinion dont je connais l’impartialité . . .”